avec ceci:
Mmes, Ms les juges du tribunal de commerce. Les faits décrits ici me font penser au pot de fer contre le pot de terre : un « casino société anonyme » face à une librairie familiale employant 12 personnes heureuses et répondant au plus grand bien d’un grands nombres de citoyens.
L’argent face à l’humain.
Vous avez le choix de rendre justice à la logique de l’argent (un mauvais maitre nous disait déjà Alexandre Dumas) ou à celle de l’humain.
A la logique du taillable et corvéable par le « puissant » du moment (noble au moyen age, société anonyme depuis le 20ié siècles) ou celle d’un argent simple serviteur au service du respect de nos dignités : ce qui fait que la vie vaut d’être vécue.
Si cette librairie ferme (dans les conditions décréditent ici), c’est entre mile et 10 mile personnes qui se sentiront indignées, triste, frustrées, déçues…Pour un bien illusoire, celui de l’argent de quelques actionnaires anonymes, qui en ont, probablement, déjà bien trop.
Il vous appartient Mmes, Ms les juges du tribunal de commerce, de faire acte de résistance. L’ennemi n’a plus de moustache, il est « anonyme », ou hydre à sept tête!. Il ne construit plus des camps de concentration, il induit le terrorisme parmi les plus faibles au bout de la chaine de l’exploitation.
aurai-je le droit de vous faire confiance?
Yvonne Daroussin