Archives de l’auteur : colibri

citation

« Pour parvenir à la sagesse, il faut avoir traversé les plus grandes difficultés, les plus grandes épreuves. La sagesse d’un être parle de toutes les expériences qu’il a faites, de toutes les victoires qu’il a remportées sur le mal, et vous devez ressentir pour lui estime et admiration, parce qu’il a payé très cher pour l’acquérir.
Et s’il est véritablement un sage, vous lisez dans son attitude, dans son regard, la certitude qu’avec la foi, le travail et le temps, on triomphe de toutes les résistances. Même s’il porte sur son visage les marques laissées par la souffrance, ce qui domine, c’est la présence d’une lumière, quelque chose de profond, de secret qui rayonne, qui irradie. »

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Ferme en permaculture avec cultures en synergies naturelles

La Ferme écologique « Au Petit Colibri » : http://aupetitcolibri.free.fr
a le soutien de Pierre Rabhi,Claude Bourguignon, Marc Dufumier, Michel Lucas, Yvez Brion, La France En Action, Les Verts de Charente, Nature et Progrès, Charente Nature, et de la Chambre d’agriculture de Charente.

Mais pas celui du Maire de sa commune et quelques autres…

un reportage de FR3 du 5 mai est disponible ici, une fois le générique lancé, faites glisser le minuteur à 5min34, cela dure 2min26.. Vous verrez d’abord le journaliste présenter une introduction avant le reportage sur le colibri.

Au Petit Colibri, Richard Wallner
Chemin de l’évêché
16570 Marsac
06.82.37.20.61
rwallner@no-log.org

Gilles Clément, jardinier humaniste

Pour le jardinier humaniste, Sarkozy, en fondant son projet sur « le fric » et le « développement infini » a renoncé à tout projet de société.

Le concepteur du parc André Citroën tient son engagement. Choqué par l' »invraisemblable » déclaration de Nicolas Sarkozy sur le déterminisme et par ses prises de positions en matière d’économie, Gilles Clément a choisi, le 6 mai 2007, de ne plus travailler avec l’Etat. Il avait alors renoncé à retravailler sur le jardin qu’il a réalisé pour le musée du quai Branly. Et avait également annulé sa participation à un chantier en Martinique, à représenter la France à la Foire Internationale de Saragosse et à sa participation à divers colloques:

la suite:

Une île d’immondices dans l’Océan Pacifique

La Pravda, le 23 octobre 2007

Une énorme île d'ordures plus grande que le Texas flotte dans l'Océan Pacifique, à mi-chemin entre San Francisco et Hawaii. [Il ne faut pas s'affoler, avec ses 692.402 Km2, le Texas est juste un peu plus grand que la France, NDT]

La California Coastal Commission de San Francisco, a dit que la soi-disant Grande Nappe d'Ordures du Pacifique (GPGP) grossit rapidement depuis les années 50. 

La gigantesque ratatouille d'ordures, qui se compose de 80% de matières plastiques et pèse environ 3,5 millions de tonnes, disent les océanographes, flotte là où il est rare que les gens voyagent, dans le no man's land entre San Francisco et Hawaii. 

Marcus Eriksen, directeur de recherche et d'éducation à la Algalita Marine Research Foundation de Long Beach, a déclaré que son groupe surveillait la GPGP depuis 10 ans [en cachette sans doute car on n'en avait pas entendu parler, NDT]. « Avec les vents qui soufflent et les courants qui s'enroulent en cercle, c'est le milieu idéal pour piéger [les ordures], » a dit Eriksen. « Il n'y a rien que nous puissions faire maintenant, à l'exception de ne pas faire plus de mal. » 

La nappe a grossi de plus en plus, avec les débris des océans du monde entier [comment est-ce possible ? C'est pas Rome pourtant ! C'est le trou du cou du monde entre Hawaii et San Francisco ou quoi ? NDT], de dix fois tous les dix ans depuis les années 50, a déclaré Chris Parry, chef de programme d'éducation du public de la California Coastal Commission de San Francisco. 

Les modèles actuels de l'océan peuvent garder les épaves flottantes planquées dans une partie du monde, là où personne ne les verra jamais, mais leur majorité est générée à terre, selon un rapport de l'an dernier de Greenpeace intitulé « Les débris de plastique dans les océans du monde. » 

Le rapport révélait que 80% des ordures dans les océans étaient originaires de la terre. Alors que les navires laissent parfois tomber des chargements de chaussures ou de gants de hockey dans les eaux (quelquefois exprès et illégalement), la grande majorité des ordures en mer a entamé son voyage comme ordure à terre. 

Original : http://english.pravda.ru/world/americas/23-10-2007/99346-island_trash-0

Traduction approximative de Pétrus Lombard pour Alter Info

Mardi 23 Octobre 2007

http://www.alterinfo.net/Une-ile-d-immondices-plus-vaste-que-le-Texas-derive-dans-l-Ocean-Pacifique_a12728.html

en provenance de la newsletter du site http://terresacree.org/cyber.htm

de la vérité

« Il ne suffit pas de trouver la vérité. Une fois trouvée, une fois comprise, il faut lui rester fidèle, travailler à la servir avec ténacité, constance, patience. Sinon, à quoi bon ? Mais combien de gens qui prétendent avoir trouvé la vérité dans une religion ou un mouvement spirituel ne font plus rien ou se contentent de prêcher les autres ! En réalité, trouver la vérité est un travail sans fin, auquel on doit s’attacher sans relâche afin de pouvoir la réaliser dans sa vie de tous les jours.

Malheureusement, il faut bien l’admettre, la constance et la stabilité ne sont pas les qualités les plus répandues parmi les humains. Or, dans l’Initiation, ce sont justement ces qualités-là que l’on exige du disciple. Dans l’ancienne Égypte, on considérait que la plus grande victoire de l’Initié était de pouvoir dire un jour : « Je suis stable, fils de stable, conçu et engendré dans le territoire de la stabilité ». »

Omraam Mickhaël Aïvanhov